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[Story] Hurlement dans la Z-city Requiem

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zourit974
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# 26-01-2012 à 13:09:06

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M'en fous je suis un poulpe-garou.

ratonxx
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# 26-01-2012 à 17:02:28

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OMYGOD la catho ! (personne ne peu comprendre)
De toute façon Zouritounet tu est pardonné <3

Suite de la story demain soir, soyez sage :)
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ooppsopps
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# 26-01-2012 à 17:18:25

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Post pour anti double post

zourit974
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# 26-01-2012 à 17:29:09

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C'est moi ou y a des gens ici qui sont devenu incroyablement coincés?

agent
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# 27-01-2012 à 14:38:15

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Ah ouais moi dans un jeu je suis coincé….. Ok je sors :right:
Avant de me faire claquer la porte au nez, à quand la sui… *Vlam!!*

ratonxx
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# 27-01-2012 à 18:08:31

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http://s4.noelshack.com/uploads/images/10107845264385_image_de_prsentation_hurlement_dlzc_requiem.jpg

Chapitre 2 : L'appel de la Haine

L'esprit tourmenté, agité et angoissé, Roméro ne parvenait pas à gagner le sommeil. La vengeance envahissait ses pensées jusqu'à devenir une obsession, une raison d'être. Plus que tout, la haine coulait dans ses veines et irriguait chaque parties de son corps et de son âme. C'était comme un venin mortel qui vous rongeait de l'intérieur, il focalisait votre cerveau sur une seule notion, une seule idée et annihilait toute autres forme de réflexion. Et quand bien même, l'esprit las, vous parveniez à trouver le repos, il vous poursuivait dans vos rêves et vos songes. Cette rancœur vous transforme, elle altère à jamais votre être et ne laisse finalement de vous qu'une entité démoniaque, plongée dans l'aversion et la colère.

A travers les vitraux nuancé du monastère, je percevais le rayonnement blême de la lune pleine. Son éclat vif semblait d'une puissance et d'une arrogance toujours plus intense. Obnubilé par ce halo de lumière qui scintillait et se miroitait dans la prunelle de mes yeux, j'abandonnai peu à peu la raison. Mon esprit m'avais abandonné, comme envouté par l'astre flamboyant. De manière irraisonnée je quittait mon modeste dortoir, traversait l'allée qui menais à la porte et quittait mon habitacle. Au dehors, l'orage avait redoublé d'intensité. Le tonnerre venait marteler le sol avec frénésie tandis que la pluie et le vent se déversaient au continue sur la ville. J'avais délaissé ma sœur a des sauvages, mais quand bien même mon cœur me priait de retourner auprès d'elle, une force inconnue me poussait a quitter la ville. C'était la rage, le dégout d'avoir laissé des êtres primitifs et frustres anéantir ma famille, la colère ne n'avoir pu réagir. Je haïssais le destin, qui avait tant attisé larme et chagrin. Je haïssais les hommes dont leur stupidité n'avait d'égal que leurs avidités. Je me haïssait moi, d'être né de la même race qu'eux. Mais j'avais fait une promesse, un engagement de vengeance … et d'homme j'allais devenir un monstre. Oui, plus que l'orage et l'averse, j'avais décidé de faire pleuvoir le sang et nul de pourrait compromettre mes plans.

Aveuglé par ma rancœur, j'avais traversé la ville, mon animosité m'avaient guidée à l'orée d'une vaste foret. Peu m'importait, mon âme restait conduite par l'amertume et je m'enfonçais au plus profond de la pinière, là où l'ombre portée par les arbres était aussi noire que mon être. Les hautes cimes des pins masquaient à présent la lune et mon environnement ne fut plus que ténèbres. J'avançais à tâtons, privé de la vue je tentais de détecter la présence d'obstacle à l'aide de mes mains. À mesure que de mon ascension je redevenais lucide. Alors que je n'avais ressentit que la colère jusqu'alors je percevais maintenant le froid et la crainte. J'étais un enfant seul, isolé dans les entrailles de la forêt à l'apothéose de la nuit. Je balayais mon environnement du regard, je ne discernait que l'obscurité. Soudain je perçus un grognement, puis un souffle rauque et haletant. J'esquissais un frisson, je n'étais pas seul. J'essayais de discerner la créature qui se tapissait dans l'ombre: en vain mes pupilles ne perçurent une nouvelle fois que l'opacité. Un hurlement strident retenti, plus intense, plus agressif, sauvage et inquiétant que le précédent. Un long silence s'en suivit, mais cette fois si ma conscience ne fit qu'un tour … je prit la fuite. Saisi par la panique et l'affolement, je m'empressais de prendre mon élan dans la première direction venue. Tous mes sens se trouvaient en alerte. Pour la première fois de ma vie je ressentais ce qu'il en était d'être en danger de mort. Je m'accrochais a la vie, accélérais mes pas, stimulait la moindre de mes fibres musculaires. Je sentais monter l'adrénaline en moi. Dans mon dos, j'entendais très nettement l'animal à mes talons, ses mouvements étaient rapide, puissant, précis. J'étais la proie, il était le chasseur.


Zourit et Ratonxx
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thijeanlouis
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Avatar de thijeanlouis

# 27-01-2012 à 18:54:29

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browniiesNul

Arguments ? Raisons ?


Modérateur disponible si plainte ou question.

zourit974
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Avatar de zourit974

# 28-01-2012 à 10:08:50

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Une seule explication: browniies lui-même XD

Sinon, dites vous que le meilleur est à venir. Tout ceux à qui j'ai montré un certain passage qui viendra (je dirais dans… 1 ou deux 2 semaines à peu près) ont trouvés soudainement les loups-garous vachement cools.

J'espère qui vous ne manquerez pas à la règle è_é sinon je démissione.

Ricka
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# 28-01-2012 à 10:10:41

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Genre, il est long le texte que vous avez écrit ? Ö
For a better day...

quentinouill
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Avatar de quentinouill

# 28-01-2012 à 10:16:38

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J'arrive pas a le croire que c'est bien vous qui l'a écrit ou que vous l'avez copié sur un livre ö
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